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Dispositions légales :
- Les terrains utilisés doivent être soumis à une autorisation du propriétaire. Si ce n’est pas le cas, les équipes invitées doivent être prévenue afin que leurs membres aient le choix de venir y jouer ou non en toute connaissance des risques encourus.
I. Les règles de sécurités
a. Les protections oculaires
- Les protections oculaires sont obligatoires, et doivent êtres conçue pour l'Airsoft.
- Elles doivent être portées par toutes personnes présentes sur les terrains de jeux et ne peuvent êtres ôter qu'en zone neutre.
b. Les artifices
L’utilisation d’artifices tel que les fumigènes, grenade etc… reste à l’entière approbation des organisateurs de parties. Cependant les artifices dangereux tel que les grenades à plâtre etc… sont à proscrire.
c. Respect des zones
- Une fois en zone neutre toutes les répliques doivent être mis en position de sécurité.
- Les tirs d'essaie des répliques doivent être effectuer dans une zone préalablement défini. A défaut dans un espace dégagé et non en direction des limites de terrain.
- Il est nécessaire de respecter le balisage du terrain et de ne pas sortir en dehors des limites de sécurité.
II. les règles de jeux
a. Les puissances
- Les puissances des répliques doivent être conforme à ce qui suit :
- 350 fps maximum pour les répliques électrique automatique et les répliques de poing.
- 450 fps maximum pour les répliques semi-automatique.
*puissances contrôlées en 0.20g
Les AEG dépassant 350 fps devront être bloqué, mécaniquement, en position semi automatique.
b. Les distances d'engagement
- Pour les répliques ayant une puissance inférieur ou équivalente à 350 fps les distances d'engagement sont d'au minimum 10 mètres. Proches de ces distances, préférez ne tirez qu’en coup par coup si vous n’êtes pas sûr de la distance de sécurité.
- Pour les répliques ayant une puissance comprise entre 350 et 450 fps les distances d'engagement sont d'au minimum 20 mètres.
- En dessous de ces distances d'engagement les outs devrons être effectuer verbalement (les outs vocaux ne peuvent être effectuer à l'aveugle et nécessite que l'on tienne la personne en joue).
- En cas d’out égal entre deux adversaires, les deux joueurs devront se rendre en zone neutre.
- En terrain CQB, les distances d’engagement seront logiquement réduites.
c. le fair-play
- Le fair-play est impératif pour le bon fonctionnement de notre loisir.
- Il n'y a aucune honte à être touché déclarez donc chacune de vos touche (que ce soit sur votre casque, poche, veste, réplique, etc…) à haute voix (sauf cas d’infiltration, pour respecter le jeu de l’adversaire) et quitter l'air de jeux pour vous diriger en zone neutre en adoptant une posture neutre (réplique levée).
- Le fair-play inclus une logique de jeu : pas d’anti-jeu ! Ne divulguez pas la position des adversaires une fois que vous êtes touché, ne campez pas prés de la zone de respawn adverse si ce n’est pas l’objectif du scénario…
III. Le savoir vivre
Il est impératif pour notre loisir de garder tout au long de la journée une ambiance décontractée et conviviale.
- Pour cela n'hésitez pas à dire bonjour, et au revoir.
- Allez discuter avec d'autre joueur (la pluie et le beau temps sont toujours d'actualité!).
- Lors des repas évitez de faire des groupes, n'hésitez pas à vous mélanger aux autres joueurs
Pensez que vous jouez ENSEMBLE et non les uns contre les autres…
Airsoft
Il existe deux types de répliques d'armes utilisant la technologie airsoft : les armes d’épaule, automatiques ou non, et les armes de poing. Ces articles utilisent comme projectiles des billes de plastique inoffensives de 6mm de diamètre, non marquantes, non salissantes et non dégradantes, traçantes ou non. Il existe aussi des billes biodégradables en cas de besoin. Le port de lunettes de protection est obligatoire, le port d'un masque recommandé (photo). Puissance inférieure à 2 Joules. Vente libre aux personnes majeures sans déclaration. Articles régis par le décret 99-240 du 24 mars 1999 relatif aux conditions de commercialisation de certains objets ayant l'apparence d'une arme à feu.
Les répliques d'armes d'épaule
Il existe trois familles de répliques d'armes d'épaule selon le type de production d’énergie utilisée pour propulser la bille.
- La famille électrique utilise un accumulateur au nickel-cadmium (NiCd) ou nickel-métal hydrure (NiMH) afin d’alimenter un moteur électrique à grande vitesse (26 000 trs/min) qui, par l’intermédiaire d’une boîte de transfert appelée Gear Box, permet d’armer un ressort et en même temps, grâce à un système de synchronisation, de chambrer une bille dans le canon. Ces répliques électriques, dont le mécanisme permet le tir au coup par coup et en rafales, sont couramment nommées AEG (Automatic Electric Gun). Exemple : le Famas F1 de TOKYO MARUI (Japon) fabriqué sous licence GIAT Industries pour CYBERGUN.
- La famille gaz utilise un gaz basse pression. Le fonctionnement est assez similaire aux carabines à air comprimé de calibre 4,5 mm mais sans devoir armer. Il existe des modèles qui proposent la faculté de tirer en mode semi automatique ou automatique. Exemple : le fusil KAR98K de TANAKA (Japon).
- La famille à réarmement manuel, couramment appelée BOLT. Ces armes sont ce qui se rapproche le plus des carabines à air comprimé de calibre 4,5 car elles nécessitent l’utilisation de la puissance musculaire pour armer un ressort par le levier d'armement. L’approvisionnement du ou des projectiles (cas du fusil à pompe qui tire trois billes à la fois par trois canons internes parallèles) est assuré par un ressort dans le chargeur. Exemple : la carabine VSR 10 de TOKYO MARUI (Japon).
Les répliques d'armes de poing
Il existe trois familles de répliques d'armes de poing : les pistolets semi-automatiques (Colt 1911 par exemple) ou automatiques (G18C par exemple), les revolvers (S&W M500 par exemple), ces deux premiers à gaz basse pression ou CO2 (en sparklets de 12 g) et les pistolets électriques, couramment appelés AEP (Automatic Electric Pistol), tel l'USP Compact de TOKYO MARUI (Japon).
Dans la catégorie des pistolets à gaz, deux cas existent :
Soit le gaz propulse la bille puis fait reculer la culasse pour chambrer un nouveau projectile, de façon similaire à un vrai pistolet semi-automatique, et l'on parle alors de pistolet GBB (Gaz Blow Back). Exemple : le Beretta 92 CO2 de KJ Works (Taiwan) fabriqué sous licence BERETTA pour CYBERGUN.
Soit le gaz ne sert qu’à propulser la bille, la culasse restant fixe, on parle alors de GNB (Gaz Non Blowback), moins onéreux, plus puissant, moins réaliste mais moins consommateur de gaz. Exemple : le Sig Pro SP 2022 CO2 de KWC (Taiwan) fabriqué sous licence SAUER pour CYBERGUN.
Les revolvers à gaz disposent d'un réservoir dans la poignée, muni d'une valve externe qui permet de le remplir un peu comme un briquet, avec un gaz liquide, mélange de Butane et de Propane (hautement inflammable). Exemple, le S&W M629 Classic 44 Magnum de MARUSHIN (Japon).
Les pistolets électriques (AEP) fonctionnent comme des AEG. La batterie est en général située sous le canon interne, le moteur et la gear box sont dans la poignée. Exemple : le USP Compact électrique de TOKYO MARUI (Japon).
Similarité du pistolet GBB avec une vraie arme
Les pistolets GBB fonctionnent presque comme de vrais automatiques pour ce qui concerne la cinématique. Une seule différence : le gaz qui leur est nécessaire est stocké dans un réservoir situé dans le chargeur. Donc, sans chargeur, l'arme ne pourra pas tirer (d'où l'absence de risque d'accident propre aux automatiques sans leur chargeur mais qui auraient encore une balle dans le canon). Lorsqu’il n’y a plus de billes dans le chargeur, la culasse reste ouverte. Il faut alors le réapprovisionner ou changer de chargeur.
Le réservoir de gaz situé dans le chargeur d'un pistolet GBB peut être vidé par pression sur la valve de sortie (recommandé en fin de tir pour soulager la valve).
Un point important à noter pour les GBB à culasse métal est un certain effet de recul qui contribue beaucoup au réalisme.
Similarité du revolver à gaz avec une vraie arme
Les revolvers à gaz fonctionnent presque comme de vrais revolvers pour ce qui concerne la cinématique. Une seule différence : le gaz qui leur est nécessaire est stocké dans un réservoir situé dans la crosse. La procédure de sécurité consistant à retirer les douilles du barillet élimine donc tout risque de départ accidentel d'un coup mais par suppression du projectile et non par suppression du propulsif.
Le réservoir de gaz situé dans la crosse d'un revolver ne peut pas être vidé (non nécessaire car la valve d'un revolver à gaz est de technologie différente).
Contrairement à la SimunitionTM, les armes à technologie airsoft permettent un usage sur 360°.
- Les terrains utilisés doivent être soumis à une autorisation du propriétaire. Si ce n’est pas le cas, les équipes invitées doivent être prévenue afin que leurs membres aient le choix de venir y jouer ou non en toute connaissance des risques encourus.
I. Les règles de sécurités
a. Les protections oculaires
- Les protections oculaires sont obligatoires, et doivent êtres conçue pour l'Airsoft.
- Elles doivent être portées par toutes personnes présentes sur les terrains de jeux et ne peuvent êtres ôter qu'en zone neutre.
b. Les artifices
L’utilisation d’artifices tel que les fumigènes, grenade etc… reste à l’entière approbation des organisateurs de parties. Cependant les artifices dangereux tel que les grenades à plâtre etc… sont à proscrire.
c. Respect des zones
- Une fois en zone neutre toutes les répliques doivent être mis en position de sécurité.
- Les tirs d'essaie des répliques doivent être effectuer dans une zone préalablement défini. A défaut dans un espace dégagé et non en direction des limites de terrain.
- Il est nécessaire de respecter le balisage du terrain et de ne pas sortir en dehors des limites de sécurité.
II. les règles de jeux
a. Les puissances
- Les puissances des répliques doivent être conforme à ce qui suit :
- 350 fps maximum pour les répliques électrique automatique et les répliques de poing.
- 450 fps maximum pour les répliques semi-automatique.
*puissances contrôlées en 0.20g
Les AEG dépassant 350 fps devront être bloqué, mécaniquement, en position semi automatique.
b. Les distances d'engagement
- Pour les répliques ayant une puissance inférieur ou équivalente à 350 fps les distances d'engagement sont d'au minimum 10 mètres. Proches de ces distances, préférez ne tirez qu’en coup par coup si vous n’êtes pas sûr de la distance de sécurité.
- Pour les répliques ayant une puissance comprise entre 350 et 450 fps les distances d'engagement sont d'au minimum 20 mètres.
- En dessous de ces distances d'engagement les outs devrons être effectuer verbalement (les outs vocaux ne peuvent être effectuer à l'aveugle et nécessite que l'on tienne la personne en joue).
- En cas d’out égal entre deux adversaires, les deux joueurs devront se rendre en zone neutre.
- En terrain CQB, les distances d’engagement seront logiquement réduites.
c. le fair-play
- Le fair-play est impératif pour le bon fonctionnement de notre loisir.
- Il n'y a aucune honte à être touché déclarez donc chacune de vos touche (que ce soit sur votre casque, poche, veste, réplique, etc…) à haute voix (sauf cas d’infiltration, pour respecter le jeu de l’adversaire) et quitter l'air de jeux pour vous diriger en zone neutre en adoptant une posture neutre (réplique levée).
- Le fair-play inclus une logique de jeu : pas d’anti-jeu ! Ne divulguez pas la position des adversaires une fois que vous êtes touché, ne campez pas prés de la zone de respawn adverse si ce n’est pas l’objectif du scénario…
III. Le savoir vivre
Il est impératif pour notre loisir de garder tout au long de la journée une ambiance décontractée et conviviale.
- Pour cela n'hésitez pas à dire bonjour, et au revoir.
- Allez discuter avec d'autre joueur (la pluie et le beau temps sont toujours d'actualité!).
- Lors des repas évitez de faire des groupes, n'hésitez pas à vous mélanger aux autres joueurs
Pensez que vous jouez ENSEMBLE et non les uns contre les autres…
Airsoft
Il existe deux types de répliques d'armes utilisant la technologie airsoft : les armes d’épaule, automatiques ou non, et les armes de poing. Ces articles utilisent comme projectiles des billes de plastique inoffensives de 6mm de diamètre, non marquantes, non salissantes et non dégradantes, traçantes ou non. Il existe aussi des billes biodégradables en cas de besoin. Le port de lunettes de protection est obligatoire, le port d'un masque recommandé (photo). Puissance inférieure à 2 Joules. Vente libre aux personnes majeures sans déclaration. Articles régis par le décret 99-240 du 24 mars 1999 relatif aux conditions de commercialisation de certains objets ayant l'apparence d'une arme à feu.
Les répliques d'armes d'épaule
Il existe trois familles de répliques d'armes d'épaule selon le type de production d’énergie utilisée pour propulser la bille.
- La famille électrique utilise un accumulateur au nickel-cadmium (NiCd) ou nickel-métal hydrure (NiMH) afin d’alimenter un moteur électrique à grande vitesse (26 000 trs/min) qui, par l’intermédiaire d’une boîte de transfert appelée Gear Box, permet d’armer un ressort et en même temps, grâce à un système de synchronisation, de chambrer une bille dans le canon. Ces répliques électriques, dont le mécanisme permet le tir au coup par coup et en rafales, sont couramment nommées AEG (Automatic Electric Gun). Exemple : le Famas F1 de TOKYO MARUI (Japon) fabriqué sous licence GIAT Industries pour CYBERGUN.
- La famille gaz utilise un gaz basse pression. Le fonctionnement est assez similaire aux carabines à air comprimé de calibre 4,5 mm mais sans devoir armer. Il existe des modèles qui proposent la faculté de tirer en mode semi automatique ou automatique. Exemple : le fusil KAR98K de TANAKA (Japon).
- La famille à réarmement manuel, couramment appelée BOLT. Ces armes sont ce qui se rapproche le plus des carabines à air comprimé de calibre 4,5 car elles nécessitent l’utilisation de la puissance musculaire pour armer un ressort par le levier d'armement. L’approvisionnement du ou des projectiles (cas du fusil à pompe qui tire trois billes à la fois par trois canons internes parallèles) est assuré par un ressort dans le chargeur. Exemple : la carabine VSR 10 de TOKYO MARUI (Japon).
Les répliques d'armes de poing
Il existe trois familles de répliques d'armes de poing : les pistolets semi-automatiques (Colt 1911 par exemple) ou automatiques (G18C par exemple), les revolvers (S&W M500 par exemple), ces deux premiers à gaz basse pression ou CO2 (en sparklets de 12 g) et les pistolets électriques, couramment appelés AEP (Automatic Electric Pistol), tel l'USP Compact de TOKYO MARUI (Japon).
Dans la catégorie des pistolets à gaz, deux cas existent :
Soit le gaz propulse la bille puis fait reculer la culasse pour chambrer un nouveau projectile, de façon similaire à un vrai pistolet semi-automatique, et l'on parle alors de pistolet GBB (Gaz Blow Back). Exemple : le Beretta 92 CO2 de KJ Works (Taiwan) fabriqué sous licence BERETTA pour CYBERGUN.
Soit le gaz ne sert qu’à propulser la bille, la culasse restant fixe, on parle alors de GNB (Gaz Non Blowback), moins onéreux, plus puissant, moins réaliste mais moins consommateur de gaz. Exemple : le Sig Pro SP 2022 CO2 de KWC (Taiwan) fabriqué sous licence SAUER pour CYBERGUN.
Les revolvers à gaz disposent d'un réservoir dans la poignée, muni d'une valve externe qui permet de le remplir un peu comme un briquet, avec un gaz liquide, mélange de Butane et de Propane (hautement inflammable). Exemple, le S&W M629 Classic 44 Magnum de MARUSHIN (Japon).
Les pistolets électriques (AEP) fonctionnent comme des AEG. La batterie est en général située sous le canon interne, le moteur et la gear box sont dans la poignée. Exemple : le USP Compact électrique de TOKYO MARUI (Japon).
Similarité du pistolet GBB avec une vraie arme
Les pistolets GBB fonctionnent presque comme de vrais automatiques pour ce qui concerne la cinématique. Une seule différence : le gaz qui leur est nécessaire est stocké dans un réservoir situé dans le chargeur. Donc, sans chargeur, l'arme ne pourra pas tirer (d'où l'absence de risque d'accident propre aux automatiques sans leur chargeur mais qui auraient encore une balle dans le canon). Lorsqu’il n’y a plus de billes dans le chargeur, la culasse reste ouverte. Il faut alors le réapprovisionner ou changer de chargeur.
Le réservoir de gaz situé dans le chargeur d'un pistolet GBB peut être vidé par pression sur la valve de sortie (recommandé en fin de tir pour soulager la valve).
Un point important à noter pour les GBB à culasse métal est un certain effet de recul qui contribue beaucoup au réalisme.
Similarité du revolver à gaz avec une vraie arme
Les revolvers à gaz fonctionnent presque comme de vrais revolvers pour ce qui concerne la cinématique. Une seule différence : le gaz qui leur est nécessaire est stocké dans un réservoir situé dans la crosse. La procédure de sécurité consistant à retirer les douilles du barillet élimine donc tout risque de départ accidentel d'un coup mais par suppression du projectile et non par suppression du propulsif.
Le réservoir de gaz situé dans la crosse d'un revolver ne peut pas être vidé (non nécessaire car la valve d'un revolver à gaz est de technologie différente).
Contrairement à la SimunitionTM, les armes à technologie airsoft permettent un usage sur 360°.
